La nouvelle bonne blague de Bush
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La nouvelle bonne blague de Bush
Bush désapprouve la transition politique à Cuba
Le président Bush doit prononcer un discours aujourd'hui, mercredi 24 octobre, pour exprimer son désaccord sur le transfert de pouvoir à Cuba entre les deux frères Castro, rapporte le New York Times. Cette déclaration serait la plus explicite de la part des Etats-Unis depuis la passation de pouvoir à Cuba il y a plus d'un an, lorsque Fidel Castro, gravement malade, avait installé "provisoirement" son frère cadet Raúl à la tête de l'Etat. La maladie persistante de l'ex-leader cubain semble cependant réduire les chances d'un hypothétique retour au pouvoir.
L'annonce de Bush est censée encourager les Cubains à continuer de résister. Le quotidien new-yorkais cite des représentants de la Maison-Blanche lors d'un briefing à la veille du discours : "M. Bush va argumenter que peu de choses ont changé pour les dissidents et les Cubains en quête de démocratie. Sous le règne de Castro, le pays a souffert économiquement et dans d'autres domaines." Il devrait en outre comparer Cuba, où la répression et la terreur sont utilisées pour contrôler le peuple, au reste de l'Amérique latine, qui a dans l'ensemble évolué de la dictature vers la démocratie.
Phil Peters, un spécialiste de Cuba, considère que les Américains se sont fait surprendre : ce qui n'était il y a un an qu'un remplacement provisoire à la tête de l'Etat cubain est en train de prendre la forme d'une transition de pouvoir "en douceur". Raúl Castro établit désormais ses propres relations avec des dirigeants politiques étrangers, et a engagé un dialogue avec le peuple cubain sur leur vision du pays. Pour Peters, le discours de Bush tranche avec la stratégie des Etats-Unis, qui était fondée jusqu'à maintenant sur l'idée que le gouvernement communiste tomberait à la mort de Fidel Castro. "L'administration réalise qu'elle a raté le train", explique Peters au quotidien. "La succession a déjà eu lieu. Ils ne peuvent plus suivre une stratégie selon laquelle il faut attendre que Castro meure alors que le reste du monde a déjà passé cette étape."
Le président Bush doit prononcer un discours aujourd'hui, mercredi 24 octobre, pour exprimer son désaccord sur le transfert de pouvoir à Cuba entre les deux frères Castro, rapporte le New York Times. Cette déclaration serait la plus explicite de la part des Etats-Unis depuis la passation de pouvoir à Cuba il y a plus d'un an, lorsque Fidel Castro, gravement malade, avait installé "provisoirement" son frère cadet Raúl à la tête de l'Etat. La maladie persistante de l'ex-leader cubain semble cependant réduire les chances d'un hypothétique retour au pouvoir.
L'annonce de Bush est censée encourager les Cubains à continuer de résister. Le quotidien new-yorkais cite des représentants de la Maison-Blanche lors d'un briefing à la veille du discours : "M. Bush va argumenter que peu de choses ont changé pour les dissidents et les Cubains en quête de démocratie. Sous le règne de Castro, le pays a souffert économiquement et dans d'autres domaines." Il devrait en outre comparer Cuba, où la répression et la terreur sont utilisées pour contrôler le peuple, au reste de l'Amérique latine, qui a dans l'ensemble évolué de la dictature vers la démocratie.
Phil Peters, un spécialiste de Cuba, considère que les Américains se sont fait surprendre : ce qui n'était il y a un an qu'un remplacement provisoire à la tête de l'Etat cubain est en train de prendre la forme d'une transition de pouvoir "en douceur". Raúl Castro établit désormais ses propres relations avec des dirigeants politiques étrangers, et a engagé un dialogue avec le peuple cubain sur leur vision du pays. Pour Peters, le discours de Bush tranche avec la stratégie des Etats-Unis, qui était fondée jusqu'à maintenant sur l'idée que le gouvernement communiste tomberait à la mort de Fidel Castro. "L'administration réalise qu'elle a raté le train", explique Peters au quotidien. "La succession a déjà eu lieu. Ils ne peuvent plus suivre une stratégie selon laquelle il faut attendre que Castro meure alors que le reste du monde a déjà passé cette étape."
et son copain Sarko montre encore sa diplomatie...
SAHARA-OCCIDENTAL • "Sarkozy a raté une occasion de se taire"
Nicolas Sarkozy, en visite d'Etat au Maroc, a estimé que le plan marocain pour le Sahara-Occidental était "sérieux et crédible", et a pris ainsi le risque de froisser l'Algérie. Le Front Polisario ou Front de libération du peuple sahraoui, soutenu par l'Algérie, rejette en effet le plan d'autonomie proposé par le Maroc pour l'ancienne colonie espagnole annexée par Rabat en 1975.
"Le choix dangereux de Sarkozy", titre El Watan, qui déplore que le chef de l'Etat français continue à soutenir le Maroc. "Nicolas Sarkozy a raté une occasion d'arrimer définitivement son pays au consensus mondial sur le Sahara-Occidental, ou de se taire dignement", écrit de son côté le quotidien Le Soir d'Algérie, en faisant référence à la position de l'ONU, qui a appelé en avril dernier le Maroc, "puissance occupante", et le Polisario à négocier l'avenir du territoire en vue de parvenir à l'autodétermination des Sahraouis.
Nicolas Sarkozy, en visite d'Etat au Maroc, a estimé que le plan marocain pour le Sahara-Occidental était "sérieux et crédible", et a pris ainsi le risque de froisser l'Algérie. Le Front Polisario ou Front de libération du peuple sahraoui, soutenu par l'Algérie, rejette en effet le plan d'autonomie proposé par le Maroc pour l'ancienne colonie espagnole annexée par Rabat en 1975.
"Le choix dangereux de Sarkozy", titre El Watan, qui déplore que le chef de l'Etat français continue à soutenir le Maroc. "Nicolas Sarkozy a raté une occasion d'arrimer définitivement son pays au consensus mondial sur le Sahara-Occidental, ou de se taire dignement", écrit de son côté le quotidien Le Soir d'Algérie, en faisant référence à la position de l'ONU, qui a appelé en avril dernier le Maroc, "puissance occupante", et le Polisario à négocier l'avenir du territoire en vue de parvenir à l'autodétermination des Sahraouis.
Re: La nouvelle bonne blague de Bush
les deux dirigeants : deux gros boulets.
Arc-en-gel- Black Beamish
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Re: La nouvelle bonne blague de Bush
exactement... le lien a chercher n'est pas geographique mais bien dans l'approche diplomatique des relations internationales... President n'est pas Ministre : malheureusement, l'image de la France qui etait jusque la encore plutot epargnee au niveau international est en train de deperir gravement...
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