Mort de Omar Bongo (Gabon)
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Mort de Omar Bongo (Gabon)
Mort d’Omar Bongo, le "doyen" controversé du continent africain
France Info - 22:55
Omar Bongo s’est éteint des suites d’un cancer, à l’âge de 73 ans. A la tête du Gabon depuis plus de 41 ans, il aura été, tout au long de la Ve République française, l’un des principaux relais de la "Françafrique" où s’entremêlent raison d’Etat, lobbies et réseaux politico-affairistes.
Petite taille, moustache et regard souvent dissimulé par des lunettes noires : il était le doyen des chefs d’Etat africains. 73 ans, et plus de 41 années passées à la tête du Gabon. Respecté pour sa sagesse et ses médiations mais à l’aura ternie par des critiques sur sa gestion, ses liens ambigus avec la France ou des accusations de corruption.
Albert-Bernard Bongo est né le 30 décembre 1935. Après des études au Congo et son service militaire, il revint au Gabon. Depuis 1962, Omar Bongo n’a connu que le pouvoir : d’abord dans l’ombre de Léon Mba, puis cinq ans plus tard, à la mort de ce dernier, il lui succèda à la tête du pays. En 1968, Omar Bongo fonda le Parti Démocratique Gabonais, le seul parti autorisé. Seul candidat, il a été élu président en 1973, 1979 et 1986, avec des scores proches de 99%.
En 1973, devenu musulman par intime conviction, il a pris le nom d’El Hadj Omar Bongo. En 2004, il adossa le patronyme de son père au sien et devint Omar Bongo Ondimba.
Il dirigea le pays de façon très directe. Si pendant des années, il ne toléra pas l’opposition, en 1990, il a restauré le multipartisme face à la fronde populaire. Ce qui ne l’empêcha toutefois pas de garder la majorité absolue au Parlement. Ses réélections, en 1998 avec près de 67% des voix, puis en 2005 avec plus de 79%, ont été marquées par des accusations de fraudes de l’opposition.
Omar Bongo, partenaire privilégié de la France
De la France, Omar Bongo avait sa propre vision : "L’Afrique sans la France, c’est la voiture sans le chauffeur. La France sans l’Afrique, c’est une voiture sans carburant." Le chef d’Etat gabonais se vantait d’avoir bien connu tous les présidents de la Ve République. De Charles de Gaulle à Nicolas Sarkozy. Il y a deux ans même, après l’élection présidentielle française, Nicolas Sarkozy appelait Omar Bongo Ondimba. Et ce dernier de raconter le président français m’a dit simplement : "Merci pour tes avis et tes conseils", et je lui ai dit : "Félicitations pour m’avoir compris, parfois".
Ce soutien de la part de Paris à Omar Bongo s’explique aussi par des considérations géostratégiques. Paris dispose d’une base militaire à Libreville, idéalement placée pour intervenir au Tchad ou en République centrafricaine. Le président gabonais jouait aussi souvent les médiateurs dans les crises africaines et avait récemment été remercié pour son rôle dans le processus de paix en cours en Centrafrique.
Mais il y a peu, les relations avec la France s’étaient tendues. Car Omar Bongo était l’un des trois présidents africains visés par une enquête dans l’Hexagone pour "recel de détournement de fonds publics, blanchiment, abus de biens sociaux, abus de confiance".
Des révélations avaient été faites sur l’important patrimoine immobilier bien mal acquis supposé en France du président gabonais et de sa famille. Un patrimoine qui aurait été financé par de l’argent public détourné.
Qui pour succéder à Omar Bongo ?
Le 6 mai dernier, le Gabon vivait une situation inédite depuis l’indépendance du pays en 1960. Omar Bongo annonçait cesser "momentanément" ses activités liées à sa fonction de chef d’Etat. "Le président prend soin de lui et se repose", déclarait alors un conseiller de la présidence. "Il a pris trois semaines de repos après plus de trois mois d’intense activité." Plongeant ainsi le Gabon dans l’incertitude. Et faisant de sa succession le sujet principal des conversations.
Certains observateurs pensent que son fils Ali Ben Bongo, actuellement ministre de la Défense, pourrait lui succéder.
Caroline Moisson, avec agences
France Info - 22:55
Omar Bongo s’est éteint des suites d’un cancer, à l’âge de 73 ans. A la tête du Gabon depuis plus de 41 ans, il aura été, tout au long de la Ve République française, l’un des principaux relais de la "Françafrique" où s’entremêlent raison d’Etat, lobbies et réseaux politico-affairistes.
Petite taille, moustache et regard souvent dissimulé par des lunettes noires : il était le doyen des chefs d’Etat africains. 73 ans, et plus de 41 années passées à la tête du Gabon. Respecté pour sa sagesse et ses médiations mais à l’aura ternie par des critiques sur sa gestion, ses liens ambigus avec la France ou des accusations de corruption.
Albert-Bernard Bongo est né le 30 décembre 1935. Après des études au Congo et son service militaire, il revint au Gabon. Depuis 1962, Omar Bongo n’a connu que le pouvoir : d’abord dans l’ombre de Léon Mba, puis cinq ans plus tard, à la mort de ce dernier, il lui succèda à la tête du pays. En 1968, Omar Bongo fonda le Parti Démocratique Gabonais, le seul parti autorisé. Seul candidat, il a été élu président en 1973, 1979 et 1986, avec des scores proches de 99%.
En 1973, devenu musulman par intime conviction, il a pris le nom d’El Hadj Omar Bongo. En 2004, il adossa le patronyme de son père au sien et devint Omar Bongo Ondimba.
Il dirigea le pays de façon très directe. Si pendant des années, il ne toléra pas l’opposition, en 1990, il a restauré le multipartisme face à la fronde populaire. Ce qui ne l’empêcha toutefois pas de garder la majorité absolue au Parlement. Ses réélections, en 1998 avec près de 67% des voix, puis en 2005 avec plus de 79%, ont été marquées par des accusations de fraudes de l’opposition.
Omar Bongo, partenaire privilégié de la France
De la France, Omar Bongo avait sa propre vision : "L’Afrique sans la France, c’est la voiture sans le chauffeur. La France sans l’Afrique, c’est une voiture sans carburant." Le chef d’Etat gabonais se vantait d’avoir bien connu tous les présidents de la Ve République. De Charles de Gaulle à Nicolas Sarkozy. Il y a deux ans même, après l’élection présidentielle française, Nicolas Sarkozy appelait Omar Bongo Ondimba. Et ce dernier de raconter le président français m’a dit simplement : "Merci pour tes avis et tes conseils", et je lui ai dit : "Félicitations pour m’avoir compris, parfois".
Ce soutien de la part de Paris à Omar Bongo s’explique aussi par des considérations géostratégiques. Paris dispose d’une base militaire à Libreville, idéalement placée pour intervenir au Tchad ou en République centrafricaine. Le président gabonais jouait aussi souvent les médiateurs dans les crises africaines et avait récemment été remercié pour son rôle dans le processus de paix en cours en Centrafrique.
Mais il y a peu, les relations avec la France s’étaient tendues. Car Omar Bongo était l’un des trois présidents africains visés par une enquête dans l’Hexagone pour "recel de détournement de fonds publics, blanchiment, abus de biens sociaux, abus de confiance".
Des révélations avaient été faites sur l’important patrimoine immobilier bien mal acquis supposé en France du président gabonais et de sa famille. Un patrimoine qui aurait été financé par de l’argent public détourné.
Qui pour succéder à Omar Bongo ?
Le 6 mai dernier, le Gabon vivait une situation inédite depuis l’indépendance du pays en 1960. Omar Bongo annonçait cesser "momentanément" ses activités liées à sa fonction de chef d’Etat. "Le président prend soin de lui et se repose", déclarait alors un conseiller de la présidence. "Il a pris trois semaines de repos après plus de trois mois d’intense activité." Plongeant ainsi le Gabon dans l’incertitude. Et faisant de sa succession le sujet principal des conversations.
Certains observateurs pensent que son fils Ali Ben Bongo, actuellement ministre de la Défense, pourrait lui succéder.
Caroline Moisson, avec agences
Re: Mort de Omar Bongo (Gabon)
c'est démenti par le premier ministre qui est allé lui-même à Barcelone, il dit avoir discuté avec les médecins et vu Bongo ce matin.
Pascaline, sa fille et directrice du cabinet présidentiel, est allée elle aussi sur place.
Ici, les gens sont un peu tendus, ils ont peur pour leurs emplois. VHO est à moitié financée par Bongo mais dans l'ensemble le calme règle.
à Franceville, y a l'armée et la police pour assurer l'ordre.
Les gabonais commencent à murmurer que c'est encore ces cons de français qui veulent leur foutre les jetons.
Avec toutes les conneries sorties par les journalistes sur Bongo, son administration, ses biens et maintenant sa santé, les français sont pas hyper bien vus et ce, malgré l'amitié franco-gabonaise de longue date...
Perso, cet aprem je vais à Franceville pour faire des provisions au cas où y aurait des problèmes d'appros ou des remouds à la ville.
Pascaline, sa fille et directrice du cabinet présidentiel, est allée elle aussi sur place.
Ici, les gens sont un peu tendus, ils ont peur pour leurs emplois. VHO est à moitié financée par Bongo mais dans l'ensemble le calme règle.
à Franceville, y a l'armée et la police pour assurer l'ordre.
Les gabonais commencent à murmurer que c'est encore ces cons de français qui veulent leur foutre les jetons.
Avec toutes les conneries sorties par les journalistes sur Bongo, son administration, ses biens et maintenant sa santé, les français sont pas hyper bien vus et ce, malgré l'amitié franco-gabonaise de longue date...
Perso, cet aprem je vais à Franceville pour faire des provisions au cas où y aurait des problèmes d'appros ou des remouds à la ville.
Arc-en-gel- Black Beamish
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Re: Mort de Omar Bongo (Gabon)
Il est vraiment mort.
Mort officiellement à 14H.
Annoncé comme tel à 17h.
Dude, prépare bien vos départs à tous les 2, prends les devants.
ils ont fermé toutes les frontières (aériennes, maritimes et routes)
Mort officiellement à 14H.
Annoncé comme tel à 17h.
Dude, prépare bien vos départs à tous les 2, prends les devants.
ils ont fermé toutes les frontières (aériennes, maritimes et routes)
Re: Mort de Omar Bongo (Gabon)
Le fils du président défunt se prépare depuis longtemps à la succession.
Les Gabonais l'appellent simplement Ali. Comme s'il était inutile de préciser le CV d'Ali Ben Bongo, fils du défunt président, ministre de la Défense et potentat du régime. Âgé de 50 ans, l'homme ne cache plus vraiment ses intentions. Et si son père avait toujours refusé d'en faire un dauphin officiel, il lui avait entrouvert la porte en le nommant à la tête des armées.
À ce poste, Ali Bongo a pu placer ses obligés aux postes clés. Un atout de poids dans ce pays où l'armée, toute silencieuse qu'elle reste, compte. Il peut aussi s'appuyer sur la fidélité de son ami d'enfance, André Mba Obame, le ministre de l'Intérieur. Surtout, Omar Bongo avait fait de lui le vice-président du Parti démocratique gabonais (PDG). À la tête du courant des rénovateurs, les «jeunes» du parti, il a continué à imposer les siens au sein de l'appareil. Le secrétaire général du PDG et le président de l'Assemblée nationale, entre autres, compteraient parmi ses soutiens. On lui prête aussi de très bonnes relations avec la France, même si Paris s'agace de voir comme donnée d'avance une élection qui se veut ouverte.
Impopulaire auprès de la rue
Ali Bongo devra néanmoins faire face à quelques handicaps, et à son impopularité. Né au Congo-Brazzaville, élevé en partie en France et ne parlant que très mal les langues locales, Ali, qui s'appelait auparavant Alain, est considéré par la rue comme un étranger. Des rumeurs tenaces font même de lui un «Biafrais», adopté par Omar Bongo. Malgré les démentis, Ali, n'a jamais pu gagner la confiance.
Le Figaro, 9 juin 2009
Le Gabon a désigné, mardi 9 juin, son chef de l'Etat par intérim, la présidente du Sénat Rose Francine Rogombé, qui prendra ses fonctions mercredi dans le strict respect de la voie constitutionnelle après le décès en Espagne du président Omar Bongo Ondimba.
Mme Rogombé, 66 ans, devrait prêter serment mercredi pour prendre effectivement ses fonctions. Elle doit désormais conduire le pays jusqu'à l'organisation, dans les quarante- cinq jours au plus tard, d'un scrutin présidentiel auquel elle ne pourra participer. Investie de presque tous les pouvoirs du président élu, elle ne pourra ni organiser de référendum, ni dissoudre l'Assemblée.
"Nous suivons strictement la voie constitutionnelle", a affirmé le ministre de l'intérieur, André Mba Obame, "contrairement à toutes les supputations, à tous les projets machiavéliques qu'on prêtait aux uns et aux autres, et notamment au ministre de la défense", Ali Ben Bongo, un des fils du président défunt, souvent présenté comme successeur possible de son père.
"On suit la Constitution à marche forcée", a toutefois commenté une source proche de la présidence, "parce que le clan Bongo n'avait pas eu le temps de préparer autre chose". "Il y a un problème majeur : les listes électorales", a relevé cette source. "Organiser des élections démocratiques en quarante-cinq jours est impossible. Si on regroupait toutes les listes locales, on aurait deux millions d'électeurs...", pour une population totale autour d'un million et demi d'habitants. Un report de l'élection présidentielle est "probable", a-t-elle ajouté.
Un ancien éditorialiste du quotidien national L'Union soutient aussi qu'"il y aura une élection, car c'est le seul moyen de préserver ses biens pour le clan Bongo". "Mais quoi qu'il se passe, (elle) sera forcément contestée", estime-t-il. Plusieurs personnalités de la société civile exprimaient de facto des réserves dès mardi soir.
La dépouille mortelle du doyen des chefs d'Etat africains en exercice, décédé lundi à l'âge de 73 ans, sera rapatriée jeudi avant des obsèques qui devraient débuter le lendemain pour quatre jours.
Le Monde, 9 juin 2009
Les Gabonais l'appellent simplement Ali. Comme s'il était inutile de préciser le CV d'Ali Ben Bongo, fils du défunt président, ministre de la Défense et potentat du régime. Âgé de 50 ans, l'homme ne cache plus vraiment ses intentions. Et si son père avait toujours refusé d'en faire un dauphin officiel, il lui avait entrouvert la porte en le nommant à la tête des armées.
À ce poste, Ali Bongo a pu placer ses obligés aux postes clés. Un atout de poids dans ce pays où l'armée, toute silencieuse qu'elle reste, compte. Il peut aussi s'appuyer sur la fidélité de son ami d'enfance, André Mba Obame, le ministre de l'Intérieur. Surtout, Omar Bongo avait fait de lui le vice-président du Parti démocratique gabonais (PDG). À la tête du courant des rénovateurs, les «jeunes» du parti, il a continué à imposer les siens au sein de l'appareil. Le secrétaire général du PDG et le président de l'Assemblée nationale, entre autres, compteraient parmi ses soutiens. On lui prête aussi de très bonnes relations avec la France, même si Paris s'agace de voir comme donnée d'avance une élection qui se veut ouverte.
Impopulaire auprès de la rue
Ali Bongo devra néanmoins faire face à quelques handicaps, et à son impopularité. Né au Congo-Brazzaville, élevé en partie en France et ne parlant que très mal les langues locales, Ali, qui s'appelait auparavant Alain, est considéré par la rue comme un étranger. Des rumeurs tenaces font même de lui un «Biafrais», adopté par Omar Bongo. Malgré les démentis, Ali, n'a jamais pu gagner la confiance.
Le Figaro, 9 juin 2009
Le Gabon a désigné, mardi 9 juin, son chef de l'Etat par intérim, la présidente du Sénat Rose Francine Rogombé, qui prendra ses fonctions mercredi dans le strict respect de la voie constitutionnelle après le décès en Espagne du président Omar Bongo Ondimba.
Mme Rogombé, 66 ans, devrait prêter serment mercredi pour prendre effectivement ses fonctions. Elle doit désormais conduire le pays jusqu'à l'organisation, dans les quarante- cinq jours au plus tard, d'un scrutin présidentiel auquel elle ne pourra participer. Investie de presque tous les pouvoirs du président élu, elle ne pourra ni organiser de référendum, ni dissoudre l'Assemblée.
"Nous suivons strictement la voie constitutionnelle", a affirmé le ministre de l'intérieur, André Mba Obame, "contrairement à toutes les supputations, à tous les projets machiavéliques qu'on prêtait aux uns et aux autres, et notamment au ministre de la défense", Ali Ben Bongo, un des fils du président défunt, souvent présenté comme successeur possible de son père.
"On suit la Constitution à marche forcée", a toutefois commenté une source proche de la présidence, "parce que le clan Bongo n'avait pas eu le temps de préparer autre chose". "Il y a un problème majeur : les listes électorales", a relevé cette source. "Organiser des élections démocratiques en quarante-cinq jours est impossible. Si on regroupait toutes les listes locales, on aurait deux millions d'électeurs...", pour une population totale autour d'un million et demi d'habitants. Un report de l'élection présidentielle est "probable", a-t-elle ajouté.
Un ancien éditorialiste du quotidien national L'Union soutient aussi qu'"il y aura une élection, car c'est le seul moyen de préserver ses biens pour le clan Bongo". "Mais quoi qu'il se passe, (elle) sera forcément contestée", estime-t-il. Plusieurs personnalités de la société civile exprimaient de facto des réserves dès mardi soir.
La dépouille mortelle du doyen des chefs d'Etat africains en exercice, décédé lundi à l'âge de 73 ans, sera rapatriée jeudi avant des obsèques qui devraient débuter le lendemain pour quatre jours.
Le Monde, 9 juin 2009
Re: Mort de Omar Bongo (Gabon)
ça va se jouer entre mon voisin Ngari, le gendre de mon patron et le fils de patron...
hé hé
hé hé
Arc-en-gel- Black Beamish
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Re: Mort de Omar Bongo (Gabon)
Arc-en-gel a écrit:ça va se jouer entre mon voisin Ngari, le gendre de mon patron et le fils de patron...
hé hé
de?
Re: Mort de Omar Bongo (Gabon)
la présidence dude.
tiens, depuis, j'ai acheté un fusil : un Baikal modèle 18EM calibre 12/76, une antiquité mais c'est du russe, du solide, inusable et très très simple d'utilisation. Avec 20 cartouches aussi...
avis aux amateurs !
tiens, depuis, j'ai acheté un fusil : un Baikal modèle 18EM calibre 12/76, une antiquité mais c'est du russe, du solide, inusable et très très simple d'utilisation. Avec 20 cartouches aussi...
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Arc-en-gel- Black Beamish
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Re: Mort de Omar Bongo (Gabon)
le fusil c'est bien mais prend toi un flingue que tu peux toujours avoir sur toi... sérieusement
seton-colb- Chimay
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Re: Mort de Omar Bongo (Gabon)
les flingues, en ce moment sont très durs à trouver. Déjà, le fusil, l'a fallu partir dans les plateaux pour l'avoir auprès d'un congolais et les cartouches je l'ai eu uniquement par le frère du responsable des armes à Franceville...
ils ont tout bloquer, normal en même temps.
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Arc-en-gel- Black Beamish
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Re: Mort de Omar Bongo (Gabon)
et tu arrives toujours en france mercredi ?
seton-colb- Chimay
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Re: Mort de Omar Bongo (Gabon)
seton-colb a écrit:et tu arrives toujours en france mercredi ?
c'est ça le plus important!
Re: Mort de Omar Bongo (Gabon)
pour l'instant, je confirme, mais c'est de moins en moins facile...
Arc-en-gel- Black Beamish
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